Juillet
29 juillet
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Mystères glorieux
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La Résurrection
L’ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler la pierre et s’assit dessus. (Mt 28, 2)
Au jour de ta conception un ange, Seigneur, dit à la Vierge: Réjouis-toi! Au jour de ta Résurrection, un ange vint rouler la pierre de ton sépulcre glorieux; au lieu de la tristesse et de la mort l’un portait des signes de joie, l’autre t’annonçait comme source de vie, magnifiant devant les femmes et les disciples ta Résurrection (Deuxième théotokion).
Mère du Rédempteur, donne-nous d'accueillir notre mort dans la confiance.
L’Ascension
Tandis que les apôtres le regardaient, il s’éleva, et une nuée vint le soustraire à leurs yeux (Ac 1, 9).
Seigneur, ayant accompli dans ta bonté le mystère caché des siècles et des générations, tu allas avec tes disciples sur le mont des Oliviers; tu pris avec toi celle qui t’enfanta, toi, l’auteur et le créateur de toutes choses; il convenait que celle qui souffrit plus que tous les autres dans ta Passion comme ta Mère soit remplie de joie débordante dans la gloire de ta chair (Jeudi de l’Ascension, septième stichère de la Litia).
Echelle et porte du ciel, tiens par la main ceux qui sont accablés, à bout de force.
La Pentecôte
Alors leur apparurent des langues qu’on aurait dites de feu (Ac 2, 3).
Celui qui jadis fut enlevé, dans l'allégresse, sur un char de feu, Elie, le prophète plein de zèle et d'ardeur, figurait la brillante venue de l'Esprit, qui en ce jour descend du ciel sur les apôtres; et, rayonnant de ce feu, ils ont fait connaître la Trinité à tous les hommes (Ode 9 pour la fête de Pentecôte).
Champ où germe la miséricorde, intercède pour que les cœurs soient ouverts à l'action de l'Esprit.
L’Assomption
Le Puissant fit pour moi des merveilles; saint est son nom! (Lc 1, 49).
Merveille, vraiment! Marie, la source de la Vie est déposée au tombeau, et sa tombe devient l’échelle du ciel. Réjouis-toi Gethsémani, temple sacré de la Mère de Dieu. Fidèles, écrions-nous avec l’ange Gabriel: Pleine de grâce, réjouis-toi, le Seigneur est avec toi qui, par toi, donne au monde la grâce du salut (Lucernaire; grandes vêpres de la Dormition).
Refuge de l'univers, intercède pour les âmes du purgatoire.
Le Couronnement de Marie
Etreins la sagesse et elle t’élèvera, elle fera ta gloire si tu l’embrasse; sur ta tête elle posera un diadème de grâce, elle t’offrira une couronne d’honneur (Pr 4,8-9).
Que retentissent nos accents de victoires en ton honneur, invincible Reine, toi qui sauves des périls du combat, Mère de Dieu, Vierge souveraine! Vers toi montent nos louanges, nos chants d’action de grâce. De ton bras puissant dresse autour de nous le plus solide des remparts, sauve-nous de tout danger, hâte-toi de secourir les fidèles qui te chantent: Réjouis-toi, Epouse inépousée. (Laudes de l'Annonciation)
Reine invincible, accueille avec bonté les prières de tous ceux qui se confient à toi.
26 juillet
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24 juillet
La face cachée de la vie des moniales (suite) L'intercession
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L’intercession nous décentre de nous-même et nous ouvre aux autres. C’est la traduction, dans la prière, du chemin parcouru au plus profond du cœur. La prière devient ainsi peu à peu missionnaire, elle s’élargit à la dimension du monde, sous la pression de la charité qui grandit dans le cœur. La prière s’ouvre alors sur l’humanité entière.
Cette prière de compassion se fonde sur la perception de l’Église comme Corps du Christ. Tous les baptisés forment le Corps du Christ, et sont donc membres les uns des autres. L’intercession jaillit de la conscience de cette solidarité : « Si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui », confie saint Paul (1 Co 12,26). La compassion, l’intercession, la présence au monde, une parole partagée à l’occasion, sont les fruits de la contemplation. Le cœur purifié voit les autres avec les yeux de Dieu.
Au début de la vie spirituelle, la compassion est en partie liée à l’émotion face à la souffrance et aux besoins de l’autre ; l’intercession est prière pour les autres ; la présence au monde est en proportion de la connaissance qu’on a de ses besoins, de ses souffrances. La progression dans la vie contemplative transforme et approfondit tout cela, sans pour autant le supprimer.
Un verset du Cantique des Cantique l’exprime bien. L’époux dit à ses amis, en parlant des fruits produits par l’épouse, fruits de l’amour, fruits de son union au Verbe avec qui elle n’a plus qu’une seule volonté : « Mangez, amis, buvez et enivrez-vous, mes bien-aimés » (Ct 5,1). De la communion qui lie l’Époux et l’épouse, image de la communion trinitaire, naît le partage, la fécondité. Le bonheur de la contemplation n’enferme pas dans une solitude à deux. Tous sans exception, eux aussi « amis bien-aimés », sont invités à la joie des noces ; non comme simples spectateurs, mais comme convives. La communion avec le Verbe est ouverte à tous.
Ceci est vécu au maximum dans l’eucharistie qui, grâce au don de l’Esprit, est à la fois communion au Seigneur et entrée plus intense dans la communion ecclésiale. Ce que le Seigneur donne à l’un, il désire le partager avec tous. Plus l’amour habite le cœur, plus le Seigneur le communique à d’autres. L’amour reçu, accueilli, ne peut pas ne pas être partagé. Comment ? De l’union au Verbe, naît le désir de voir proches et lointains entrer dans le salut reçu ; il se traduit en demandes qui exercent sur lui une influence de poids à laquelle il ne peut résister. La racine de l’intercession est là : elle naît de l’union parfaite, de la totale réciprocité, de l’union des volontés.
De tels fruits se développent un jour, sur le terreau d’une lente transformation spirituelle favorisée par la vie cachée. Je pense volontiers que la participation des moniales à la mission de l’Ordre des Prêcheurs se situe dans ce lieu où Dieu ne peut rien refuser de ce qui lui est demandé.
21 juillet
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Mystères douloureux
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L’Agonie
Veillez et priez, pour ne pas entrer en tentation; l’esprit est ardent, mais la chair est faible (Mt 26, 41).
C'est pour trente deniers, Seigneur, et un baiser de traître, que les Juifs cherchaient à vous tuer; mais Judas le prévaricateur ne voulut pas comprendre. «Veillez et priez, afin de ne pas être tentés», disiez-vous à vos disciples, ô notre Dieu; mais Judas le prévaricateur ne voulut pas comprendre (Grand Vendredi, troisième antienne).
Consolatrice des affligés, enveloppe de ta tendresse tous ceux qui sont tentés de trahir le Seigneur.
La Flagellation
Quant à Jésus, Pilate le fit flageller, et il le livra pour qu’il soit crucifié (Mt 27, 26).
L'agneau qu'Isaïe annonça s'en va à l'immolation volontaire. Il présente son dos aux coups, ses joues aux soufflets; il ne détourne pas son visage pour éviter les crachats déshonorants; il est condamné à une mort infâme. Tout cela, le tout immaculé l'accepte volontairement, pour donner à tous de ressusciter des morts (Grand Jeudi, Matines).
Protectrice des chrétiens, soutiens dans leur combat ceux qui sont persécutés pour leur foi.
Le Couronnement d’épines
Avec des épines, les soldats tressèrent une couronne, et la posèrent sur sa tête (Mt 17, 29).
Avant ta précieuse croix, Seigneur, les soldats se jouèrent de toi, et les armées célestes furent frappées de stupeur; car tu étais couronné de mépris, toi qui couronnes la terre de fleurs, et par dérision tu fus de pourpre revêtu, toi qui revêts de nuages le firmament; mais dans ton œuvre de salut, tu révèles ta miséricorde; Seigneur, gloire à toi (Tierce du Vendredi Saint).
Protectrice des opprimés, intercède pour les enfants exploités, pour les pauvres méprisés.
Le Portement de croix
Lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne ou Calvaire (Jn 19, 17).
La Vierge Marie, voyant son Agneau conduit à l’immolation, l’accompagnait avec les autres femmes et disait: Où vas-tu, mon Enfant, et pour qui presses-tu le pas? Une autre noce est-elle célébrée à Cana? Est-ce là que tu te rends, pour changer l’eau en vin? Dois-je t’accompagner mon Fils, ou dois-je attendre ton retour? Réponds-moi ô Verbe, ne passe pas silencieux devant moi! Toi que j’ai mis au monde virginalement, tu es en vérité mon Fils et mon Dieu (Matines du Vendredi saint).
Réconfort des malades, sois au chevet des malades du monde entier.
Le crucifiement et la mort de Jésus
Après la mort de Jésus, les tombeaux s’ouvrirent; les corps de nombreux saints qui étaient morts ressuscitèrent (Mt 27, 52).
En ce jour, la Vierge immaculée, te voyant ô Verbe, sur la croix, souffre en son cœur maternel, pleurant amèrement et gémissant du fond de l’âme et, dans sa douleur, te criant: Hélas, ô divin Fils, ô lumière de l’univers, comment as-tu quitté mes yeux, Agneau de Dieu? Et les anges dans le ciel tremblèrent d’effroi en disant: Seigneur que l’univers ne peut comprendre, gloire à toi. Dieu est notre roi depuis toujours, au milieu de la terre, il accomplit le salut (Apostiches du Vendredi saint).
Relèvement d'Adam, prie pour les pécheurs.
19 juillet
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16 juillet
Soeur Jean-Marie raconte sa vocation oecuménique.
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14 juillet
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Mystères lumineux
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Le Baptême
Je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses sandales (Lc 3, 16).
La voix du Verbe, le chandelier de la Clarté, l’étoile du matin et du Soleil, le précurseur, crie au désert à tous les peuples: «Repentez-vous, venez vous purifier de vos péchés, car voici que s’avance le Christ, le rédempteur du monde, né du Dieu et Père immatériellement». De la Vierge, sans souillure, prend chair le Christ, dont le Précurseur nous enseigne qu’il ne peut délier la courroie, c’est-à-dire l’union du Verbe et de notre nature, puisqu’il est venu racheter les mortels de l’erreur (Ode 6 du baptême du Seigneur).
Mère de l'Agneau, penche-toi sur les catéchumènes et les nouveaux baptisés.
Cana
Le troisième jour, il y eut un mariage à Cana de Galilée (Jn 2, 1).
Seigneur notre Dieu, qui dans votre économie du salut avez daigné, à Cana de Galilée, montrer, par votre venue, que le mariage était une chose honorable, gardez dans la paix et l'accord vos serviteurs qu'il vous a plus d'unir l'un à l'autre. Faites briller l'honneur de leur union (Office du couronnement).
Source intarissable de vie, accompagne les époux chrétiens dans la fidélité.
L’Annonce du Royaume
Beaucoup se rassemblèrent autour de Jésus et il leur annonçait la Parole (Mc 2,2).
Grâce à toi, Mère de Dieu, celui que nous chantons est apparu sur la terre; incomparable en bonté et en puissance, il conversa avec les hommes. Fidèles, tous nous crions: «Que toute créature loue le Seigneur, et l'exalte dans tous les siècles» (Orthos, huitième ode).
Fervente avocate, par ta prière guide les missionnaires, les prédicateurs, les confesseurs.
La Transfiguration
Jésus fut transfiguré devant eux; son visage devint brillant comme le soleil (Mt 17, 2).
Sur la montagne tu t'es transfiguré et tes disciples contemplèrent ta gloire, ô Christ notre Dieu, pour autant qu'ils le pouvait, afin qu'en te voyant sur la croix ils comprennent que ta Passion était voulue et proclament à la face du monde que tu es en vérité le reflet de la splendeur et de la gloire du Père (Kondakion de la Transfiguration).
Vierge qui enfantas la Lumière, obtiens de ton Fils beaucoup de vocations à la vie consacrée.
L’Eucharistie
Les disciples firent ce que Jésus leur avait prescrit et ils préparèrent la Pâque (Mt 26, 19).
Le Christ est notre Pâque grande et vénérable, le pain que nous mangeons est l'agneau immolé: lui-même s'est offert en sacrifice pour nous, et nous nous recevons mystiquement son corps et son sang (Complies du Mercredi Saint).
Vigne qui as produit le doux raisin, protège les prêtres en difficulté.
12 juillet
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9 juillet
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Notre monastère a 131 ans, en ce jour ! Pour découvrir les lettres (1878-1896) qui ont présidé à sa construction, |
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7 juillet
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Mystères joyeux
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L’Annonciation
Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père (Lc 1, 32).
Aujourd’hui, c’est l’aurore de notre salut, où se manifeste le mystère éternel : le Fils de Dieu devient Fils de la Vierge, et Gabriel annonce cette grâce. Avec l’ange disons donc à la Mère de Dieu : Réjouis-toi, Pleine de grâce, le Seigneur est avec toi (Tropaire de l'Annonciation).
Tabernacle de clarté, apprends-nous à prier le chapelet, comme tu l'as appris à Bernadette.
La Visitation
Lorsque tes paroles de salutation sont parvenues à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi (Lc 1, 44).
Portant le Seigneur Dieu dans son sein maternel, la Vierge s'en alla trouver Elisabeth ; son enfant reconnaît le salut merveilleux et trésaille en chantant pour la Mère de Dieu : Réjouis-toi, bourgeon de l'immortelle fleur, réjouis-toi, domaine au fruit plein de saveur, réjouis-toi, jardin du Seigneur notre Ami, réjouis-toi, semis où pousse notre vie (Acathiste, Première stance, Ikos 5).
Havre de paix, pacifie les cœurs pour qu'advienne la paix dans le monde.
La Nativité
Voici le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire (Lc 2, 12).
Magnifie, ô mon âme, la Toute Sainte et immaculée, plus vénérable et plus glorieuse que toutes les Puissances des cieux, la Mère de Dieu. Je vois un mystère étonnant qui dépasse l’entendement : une grotte est devenue le ciel et la Vierge remplace le trône des Chérubins ; la crèche est la demeure où repose celui que l’univers entier ne pouvait contenir, le Christ notre Dieu infini, que nous chantons et magnifions (Ode 9 des Matines de la Nativité).
Sainte Mère de Dieu, protégez les enfants à naître.
La Présentation de Jésus
Siméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu (Lc 2, 28).
Orne ta chambre nuptiale, Sion, accueille le Christ notre Roi ; embrasse Marie, la porte du ciel: c’est elle, le nouveau trône des Chérubins; elle porte le Roi de gloire, nuée lumineuse portant en la chair le Fils engendré avant l’aurore; Siméon, le recevant dans ses bras, révèle à tous les peuples qu’il est le Maître de la vie et de la mort, le Rédempteur de nos âmes (Grandes Vêpres de l'Hypapante).
Espérance des hommes, donne la force aux agonisants.
Le Recouvrement de Jésus au Temple
Au bout de trois jours, ils le trouvèrent dans le Temple (Lc 2, 46).
Une tempête d’afflictions tourbillonna sur la Mère très pure quand ils retournèrent de Jérusalem, ne trouvant pas le jeune Jésus dans la caravane. Pour cette raison, ils repartirent à sa recherche, et après trois jours, ils le trouvèrent dans le Temple. Et sa mère Lui demanda : « Mon enfant, pourquoi as-tu fait cela ? Voici, ton père et moi avons beaucoup souffert en te recherchant. » Et Jésus leur répondit : « Pourquoi êtes-vous allés à ma recherche ? Ne connaissez-vous pas ces choses que mon Père m’a confiées ? » Et toi, ô Très Pure, tu gardais toutes ces choses dans ton cœur (Acathiste, Kontakion IV).
Demeure de notre roi, apprends-nous à nous nourrir comme toi des paroles de ton Fils.
5 juillet
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3 juillet
La face cachée de la vie des moniales (suite) Contemplation et étude
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Accueil d’une présence, la contemplation suppose un éveil de l’intelligence, une capacité de connaître, car l’accueil des réalités qui nous sont présentes se fait aussi par la connaissance. Les êtres nous sont présents comme une invitation à une connaissance plus profonde ; ils sont présence et question. À cette question, je n’aurai jamais une claire réponse, car chaque être porte en lui beaucoup plus que je n’en perçois quand je le vois. Chacun porte en lui une grande richesse qui, pour une grande part, m’échappe : c’est un mystère que je ne pourrai jamais épuiser et qui pourtant aiguise ma curiosité de le connaître.
L’étude, qui est quête de la présence pour la pénétrer de plus en plus, apporte sa contribution à la croissance de la vie contemplative. Ainsi contempler, c’est voir, observer, mais aussi étudier, rechercher, lire. Par l’étude, notre intelligence s’élève au niveau de ce que nous regardons. La vie contemplative a donc son amorce dans la vie humaine, dans le simple fait de voir, d’entendre, de toucher, de ressentir. Mais elle est à approfondir. D’où l’importance du loisir qui permet de jouir de ce qui est beau, d’étudier, de réfléchir, de se former et de se cultiver soi-même.
Certains, au nom de l’égalité des hommes et des femmes, voudraient que les moniales reçoivent une formation semblable à celle des prêtres, à l’université ! Cela revient à dire qu’il doit y avoir une même formation pour tous, dans le milieu ecclésiastique. C’est comme si l’on décrétait qu’il faut une même formation pour tout le personnel du milieu hospitalier : médecins, infirmières, aides-soignants, etc. Or la finalité de l’étude n’est pas la même pour des moniales et pour des prêtres, et même pour des moines prêtres.
L’étude permet de pénétrer le mystère de Dieu, d’avoir une meilleure compréhension de l’Ecriture : elle est le soubassement de la lectio divina. C’est par elle que se met en œuvre notre recherche de la vérité. Or c’est la vérité connue qui nous fait grandir dans l’amour. L’étude est donc indispensable pour faire grandir l’unanimité de notre communauté.
Son utilité peut se résumer en trois points..
Elle purifie le cœur, elle le détourne de ce qui est mauvais pour le tourner vers la Vérité, vers Dieu.
Elle fait entrer dans la connaissance de Dieu : pour avoir l’intelligence des Livres saints, il faut penser juste.
Elle conduit, enfin, à la contemplation. L’étude contribue à mettre dans un état de tranquillité, de calme, condition essentielle de la prière.
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